Almacoustic murmure à l’oreille des innovateurs

Après un an d’exercice, l’association s’affirme comme un accélérateur de l’innovation dans les secteurs de l’acoustique et des vibrations.

Olivier Roinson, directeur d'Almacoustic a présenté aux acteurs du territoire les outils et thématiques de recherche de la structure.
© Ville du Mans

Des sourires et beaucoup d’ambitions. Le premier anniversaire de l’association mancelle Almacoustic a validé la pertinence de l’offre de reprise des activités et de l’équipe du Pôle Acoustique du CTTM construite avec le soutien et la collaboration de Le Mans Métropole, la Région Pays de la Loire, la Délégation régionale académique à la recherche et à l'innovation (DRARI) et du Laboratoire d’acoustique de l’université du Mans (Laum).

« À un an, nous commençons à marcher seul. La dynamique de l’association est ancrée dans le territoire. Nous voulons devenir un centre d’expertise en acoustique et vibrations leader, valoriser les activités de recherche du Laum et incuber des innovations acoustiques issues de l’écosystème local », explique Nicolas Bombera, président d’Almacoustic.

L’association propose des services en acoustique générale, problématiques d’insonorisation et absorption, matériaux acoustiques, électroacoustique, synthèse de champ acoustique, traitement du signal, aéroacoustique, guides d’ondes, écoulements, silencieux et thermoacoustique.

Almacoustic dispose d’une salle semi-anéchoïque, d’une salle réverbérante, d’une cabine réverbérante, de tubes à ondes stationnaires et de veines d’essais avec écoulement pou répondre aux demandes de clients parmi lesquels Airbus, Claas Tractor, la SNCF ou encore Ouest Acoustique. La reconnaissance des services proposés par le centre d’expertise en acoustique et vibrations implanté sur le campus manceau.

« L’idée reste toujours de faire du Mans la capitale du son. Ici, nous allons continuer à investir dans la recherche universitaire. Nous faisons le pari de l’avenir, de la connaissance et de l’innovation », souligne Stéphane Le Foll. « Il s’agit de développer de nouvelles stratégies basées sur le collectif, en mobilisant les ressources de l’écosystème local.